ラメール 触れたら最後、日本全土がハルマゲドン

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Les drames de la mer( Edition int?grale )【電子書籍】[ Alexandre Dumas ]

<p>Les drames de la mer, recueil de quatre nouvelles: Bontekoe, Le capitaine Marion, La Junon et Le Kent:</p> <p>***Bontekoe***1619: Bontekoe est le capitaine du Nieuw-Hoorn. Au large de l'?le Bourbon, un incendie se d?clare dans la soute ? charbon. D?couvert assez tard, le sinistre fait rage; 70 hommes d?sesp?r?s se r?fugient dans la chaloupe et le grand canot quand soudain le bateau explose. Bontekoe, bless? ,est rep?ch? et install? dans la chaloupe.</p> <p>La situation est pr?occupante: les vivres sont peu abondants. Les jours s'?coulent, tous les hommes s'installent dans la chaloupe. Bontekoe, qui se souvient de la derni?re position du Nieuw-Hoorn, dirige l'embarcation ? l'estime: il pense atteindre Sumatra. La famine rend les hommes fous, ils avertissent le capitaine qu'ils envisagent de manger les mousses. Bontekoe leur demande d'attendre trois jours. Au troisi?me matin, une ?le est en vue.</p> <p>A terre, les hommes demandent aux insulaires de leur fournir de la nourriture. Bontekoe part avec quatre marins pour aller acheter de la viande dans un village voisin. Au retour, la chaloupe est attaqu?e par trois cents insulaires qui contraignent Bontekoe et ses hommes ? reprendre la mer sans vivres: douze hommes ont ?t? tu?s. Ils d?barquent sur une ?le d?serte surplomb?e d'une montagne. Pendant que l'?quipage s'occupe de la nourriture, Bontekoe monte sur le sommet. En haut, il d?couvre une cha?ne montagneuse qu'il reconna?t pour ?tre celle de Java, terre hollandaise. Tous remontent dans la chaloupe et au matin, ils sont r?cup?r?s par des navires hollandais qui les ram?nent en terre amicale.</p> <p><em><strong>Le capitaine Marion</strong></em> Les relations entre les Europ?ens et les habitants de ce qui deviendrait plus tard la Nouvelle-Z?lande avaient ?t? rares et d?sastreuses. Seuls trois navires y avaient abord?: les Hollandais en 1642, Cook en 1769 et Surville qui, la m?me ann?e, enleva le fils du chef Takoury.</p> <p>En 1772, le Castries et le Mascarin, sous les ordres du Capitaine Marion, jettent l'ancre dans les eaux n?o-z?landaises. Des habitants, dont Takoury, sont accueillis ? bord du Mascarin. Les relations entre les Fran?ais et les indig?nes s'av?rent excellentes et peu ? peu la confiance s'installe. Trois postes, pour les charpentiers et les malades, sont install?s ? terre.</p> <p>Un matin, le capitaine Marion et quelques hommes se rendent aupr?s du chef Takoury; ils ne rentrent pas le soir. Le lendemain, des hommes quittent le Mascarin pour aller faire de l'eau et du bois. Les heures passent et ils ne reviennent pas. Chacun scrute la mer quand un marin aper?oit un homme en difficult?. Rep?ch?, le malheureux d?crit le guet-apens organis? par les indig?nes et explique qu'il a vu ces derniers cuire puis manger ses compagnons.</p> <p>Les Fran?ais d?cident d'aller rechercher les marins et les ouvriers encore ? terre. Les indig?nes sont tenus en respect par les d?flagrations meurtri?res des fusils. Une exp?dition est d?cid?e afin de s'assurer de la mort du capitaine Marion; les traces sanglantes et les os humains rong?s apportent vite la preuve recherch?e. Plus d'un mois s'?coule encore avant que le Castries soit pourvu de m?ts et que les r?serves d'eau et de bois soient faites. Les Fran?ais peuvent alors quitter la Nouvelle-Z?lande.</p> <p>***La Junon***1795: John Mackay est second ma?tre ? bord de la Junon. Au large de Rangoun, le bateau touche un banc de sable. Sauv?e in extremis, la Junon peut reprendre la mer. Toutefois l'incident n'est pas sans cons?quence et d?s le premier coup de mer, une voie d'eau se d?clare dans la cale.</p> <p>L'?tat du navire est critique, l'eau submerge le pont, le capitaine Bremner, sa femme, John Mackay et une partie de l'?quipage se r?fugient dans les hunes d'artimon et de misaine ou dans les haubans. Par miracle, la Junon se met ? flotter entre deux eaux et continue ? avancer insensiblement.</p> <p>Commence une longue agonie. Des hommes, dirig?s par le capitaine Bremner, tentent de rallier Madras sur un radeau de fortune, mais la mer et le vent les ram?nent sur la Junon. L'agonie s'installe. Les morts se multiplient et parmi eux le capitaine.</p> <p>Vingt jours se sont ?coul?s quand le navire fant?me parvient en vue de la terre. Des marins d?sesp?r?s se jettent ? l'eau, soutenus par des d?bris du bateau. Mackay est des leurs. Sur la plage, des Hindous leur donnent du riz et acceptent d'aller chercher Mme Bremner et les autres survivants rest?s sur la Junon. Mme Bremner, qui avait conserv? quelques roupies, se fait transporter en palanquin jusqu'? la prochaine ville; Mackay doit quant ? lui suivre ? pied malgr? sa faiblesse. Arriv?s ? Ramou, le chef du village met tout en ?uvre pour emp?cher Mackay de rejoindre Calcutta: il d?sire exploiter l'?pave de la Junon et son chargement de teck. Mackay ruse et r?ussit ? rejoindre la ville. La Junon ne sera pas pill?e.</p> <p>***Le Kent***1825: la temp?te fait rage dans le golfe de Biscaye; le Kent est malmen? et ses passagers, parmi lesquels un grand nombre de femmes et d'enfants, trouvent un peu de r?confort dans la pri?re. Toutefois, le capitaine Cobb a foi en la robustesse de son navire et en l'exp?rience de son ?quipage. Quand soudain, un incendie se d?clare dans la cale. La situation semble d?sesp?r?e...</p> <p>La providence vient en aide au Kent en mettant sur sa route un autre navire, le Cambria, qui se met en panne ? quelques encablures du bateau en d?tresse dont la r?serve de poudre menace d'exploser ? tout instant. Commence alors une longue lutte contre les flots d?cha?n?s. Les femmes et les enfants sont transbord?s dans la chaloupe qui parvient ? rejoindre le Cambria avant de revenir chercher d'autres passagers.</p> <p>Plusieurs heures sont n?cessaires au sauvetage; les sc?nes de d?tresse ou de valeureux courage, de fuites insens?es et de basse l?chet? se multiplient, les morts sont nombreux. Le capitaine Cobb doit, au dernier moment et contre sa volont?, abandonner quelques personnes paralys?es ? l'id?e d'affronter la temp?te. Le Kent explose et le Cambria prend le chemin de l'Angleterre. Quelques jours plus tard, la Caroline, navire command? par le capitaine Bilbay, aborde ? Liverpool avec les derniers naufrag?s du Kent sauv?s in extremis au milieu des d?bris du bateau.</p>画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。

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